L'arbre va tomber
Les branches salissaient les murs
Rien ne doit rester
Le monsieur veut garer sa voiture
Nous, on l'avait griffé
Juste pour mettre des flèches et des cœurs
Mais l'arbre va tomber
Le monde regarde ailleurs
L'arbre va tomber
Ça fera de la place au carrefour
L'homme est décidé
Et l'homme est le plus fort, toujours
C'est pas compliqué
Ça va pas lui prendre longtemps
Tout faire dégringoler
L'arbre avec les oiseaux dedans!
Y avait pourtant tellement de gens
Qui s'y abritaient
Et tellement qui s'y abritent encore
Toujours sur nous penché
Quand les averses tombaient
Une vie d'arbre à coucher dehors
L'arbre va tomber
L'homme veut mesurer sa force
Et l'homme est décidé
La lame est déjà sur l'écorce
Y avait pourtant tellement de gens
Qui s'y abritaient
Et tellement qui s'y abritent encore
Toujours sur nous penché
Quand les averses tombaient
Une vie d'arbre à coucher dehors
L'arbre va tomber
On se le partage déjà
Y a rien à regretter
C'était juste un morceau de bois
Un bout de forêt
Avancé trop près des maisons
Et pendant qu'on parlait
L'arbre est tombé pour de bon!
Y avait pourtant tellement de gens
Qui s'y abritaient
Et toutes ces nuits d'hiver
Quand les averses tombaient
T'as dû en voir passer
Des cortèges de paumés
Des orages, des météores
Et toutes ces nuits d'hiver
Quand les averses tombaient
Une vie d'arbre à coucher dehors
À perdre le nord
À coucher dehors... à coucher dehors
Les branches salissaient les murs
Rien ne doit rester
Le monsieur veut garer sa voiture
Nous, on l'avait griffé
Juste pour mettre des flèches et des cœurs
Mais l'arbre va tomber
Le monde regarde ailleurs
L'arbre va tomber
Ça fera de la place au carrefour
L'homme est décidé
Et l'homme est le plus fort, toujours
C'est pas compliqué
Ça va pas lui prendre longtemps
Tout faire dégringoler
L'arbre avec les oiseaux dedans!
Y avait pourtant tellement de gens
Qui s'y abritaient
Et tellement qui s'y abritent encore
Toujours sur nous penché
Quand les averses tombaient
Une vie d'arbre à coucher dehors
L'arbre va tomber
L'homme veut mesurer sa force
Et l'homme est décidé
La lame est déjà sur l'écorce
Y avait pourtant tellement de gens
Qui s'y abritaient
Et tellement qui s'y abritent encore
Toujours sur nous penché
Quand les averses tombaient
Une vie d'arbre à coucher dehors
L'arbre va tomber
On se le partage déjà
Y a rien à regretter
C'était juste un morceau de bois
Un bout de forêt
Avancé trop près des maisons
Et pendant qu'on parlait
L'arbre est tombé pour de bon!
Y avait pourtant tellement de gens
Qui s'y abritaient
Et toutes ces nuits d'hiver
Quand les averses tombaient
T'as dû en voir passer
Des cortèges de paumés
Des orages, des météores
Et toutes ces nuits d'hiver
Quand les averses tombaient
Une vie d'arbre à coucher dehors
À perdre le nord
À coucher dehors... à coucher dehors
Francis Cabrel
Il en a connu des oiseaux... des pipits des arbres, pipits farlouses, linottes mélodieuses, mésanges charbonnières, mésanges bleues, moineaux domestiques, chardonnerets élégants, verdiers d'europe, pinsons des arbres, pinsons du nord, grives draine, grives musicienne, grives litorne, merles noir, buses variable, geais des chênes, étourneaux sansonnets, corneilles noires, pigeons ramiers, pics épeiche, faucons hobereau, faucons crécerelle.
Quelques coups de pelleteuse auront suffit...
Son tort : gêner le passage du tracteur du nouveau propriétaire... 3 autres ont subis le même sort.
8 ans qu'ils faisaient partis de mon paysage.
Je suis écœurée de voir qu'en 2015, la "connerie", tellement plus facile, l'emporte toujours... Et dire que l'ancien propriétaire, lui aussi... avait un tracteur.
Comme quoi... tout ne tient qu'à l'homme !
Comme quoi... tout ne tient qu'à l'homme !
Pour écouter la chanson, c'est ici !
Très belle mise à jour avec ces trois derniers sujets.
RépondreSupprimerEt oui, c'est triste de voir ces arbres abattus pour gagner 30 secondes sur son tracteur.
Merci Alain, le plus triste dans tout cela, c'est que les "cadavres" sont toujours sur place... et que l'arbre, même à terre, a fleuri en partie !
SupprimerPour les mises à jour, j'y travaille mais entre le Merle à plastron (à 100m de la maison !), les oedicnèmes (guère plus loin) et les migrateurs qui arrivent, je profite du moindre temps libre (même si les autorisations de sortie ne sont pas compatibles avec une belle luminosité photographique !)
:)